Avis important!
Vous le savez, j’ai la bougeotte…
Pourtant cette fois ce n’est pas moi qui me déplace mais ce blog.
En effet, vu le nombre de photos publiées (et pourtant réduites) Photonanie se trouve déjà un peu à l’étroit dans l’espace offert gratuitement par WordPress.
Rassurez-vous, je change juste l’adresse du blog mais je crains de louper le transfert de mes abonnés, ce qui m’ennuierait beaucoup, je préfère donc vous donner dès maintenant la nouvelle adresse, plus courte donc plus facile à mémoriser, qui est
photonanie.com
Qui m’aime me suive
Si vous souhaitez me suivre et vous abonner, merci de le faire sur le blog qui a été transféré à la nouvelle adresse photonanie.com sinon je risque de vous perdre en route. Ce serait dommage… Merci.
Voyage, voyage: dans les Pyrénées béarnaises
Aujourd’hui nous allons enfin voir un endroit dont je rêvais depuis longtemps: le cirque de Gavarnie .
Ne venez pas me dire, comme un collègue, que c’est un grand déplacement pour aller voir un cirque , évidemment si on pense à ça c’est sûr que je peux en trouver facilement bien plus près de chez moi…
Il ignorait simplement que le cirque de Gavarnie est un cirque naturel de type glaciaire situé dans le massif montagneux des Pyrénées, sur le territoire de la commune française de Gavarnie, dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
On trouve de l’eau partout lors de cette randonnée mais comme nous avions choisi une belle journée, c’était agréable de pouvoir s’y rafraîchir.
C’est chouette de rencontrer des animaux qui nous obligent à nous arrêter, nous donnant ainsi l’occasion d’admirer les routes en lacets qui parcourent la montagne.
Ce fut vraiment une très belle journée, inoubliable. J’ai bien fait d’insister pour aller voir ce « cirque« !
Voyage, voyage: Allemagne, Coblence
Je me rends compte que je ne vous ai pas encore parlé de la belle ville allemande de Coblence au confluent de la Moselle et du Rhin.
Ci-dessous, à gauche, l’hôtel du gouvernement prussien. A droite, vue sur la ville dans la brume.
Quand on entre dans la ville, la première construction rencontrée, à côté de laquelle on se sent minuscule, c’est le château des Princes-électeurs.
Le bâtiment est imposant mais c’est le travail des jardiniers du parc qui m’a le plus impressionnée.
La fontaine ci-dessous, très ouvragée, raconte l’histoire complète de la ville de Coblence.
Au confluent du Rhin et de la Moselle, se trouve le Deutsches Eck, le coin allemand où on trouve la statue de Guillaume 1er ou plutôt une reproduction, la statue d’origine (1897) ayant été bombardée en 1945.
En continuant notre découverte de la ville, nous apercevons les tours de la basilique Saint-Castor.
Nous entrons cette fois réellement dans le coeur de la ville et sommes impressionnés par les magnifiques façades décorées de ces oriels, bow-windows ou échauguettes, j’ignore quel nom il convient de leur donner…même si ma préférence va à ce dernier puisque, selon Wikipédia, il viendrait de l’occitan eschaugard (veiller, surveiller).
Sur cette vue d’ensemble, on voit très bien que Coblence abrite de nombreuses églises assez importantes dont l’église romane du Sacré-Coeur, et, en jaune et blanc, l’église Saint-Florin.
Je termine cette découverte par la photo de cette jolie rosace aux gardiens à la mine boudeuse…ce qui n’est pas du tout mon cas
Voyage, voyage: Mehun-sur-Yèvre
La jolie cité de Mehun-sur-Yèvre est située en France entre Bourges et Vierzon. Son histoire vous est présentée ici.
La porte de ville est le plus beau vestige qui subsiste des remparts de la cité de Mehun. Elle date du début du XIIIe siècle et présente les dernières innovations militaires de son temps : passage de la herse, enchaînement des arcades défensives, disposition des archères, chambres de tir intérieures, etc. Dans sa partie supérieure, elle était certainement dotée, à l’origine, de hourds en bois, dont l’allure nous échappe totalement. La cloche qui sonne toujours les heures est très ancienne, c’est une commande du duc de Berry à la fin du XIVe siècle (source).
Construite au tout début du XIe siècle, la collégiale Notre-Dame (qui abritait un collège de neufs chanoines) est un édifice roman.
Un peu pris par le temps, ce n’était pour nous qu’un arrêt sur un trajet menant ailleurs, nous ne nous sommes pas arrêtés longtemps dans cette ville et je le regrette aujourd’hui tant il me semble avoir raté de jolies choses…
Ce sera peut-être l’occasion d’y retourner…
Balade automnale dans la Charmille
Aujourd’hui, profitant d’un timide soleil, je suis partie me balader dans les bois, pas trop loin de chez moi, dans un bel endroit appelé la Charmille.
C’est Simon des Marets, receveur général du prince-évêque de Liège, qui fit édifier un ensemble comprenant un château et des dépendances au début du XVIIe siècle. La charmille fut érigée en 1885 par J. R. Nys, un ancien industriel devenu rentier.
L’endroit porte un nom bien de saison et nous met directement dans l’ambiance…
Il a bien plu les derniers jours et la pluie a laissé derrière elle des miroirs naturels reflétant joliment les arbres du chemin.
Ce très bel arbre, dans lequel une rechute de paréidolie me fait voir un personnage de profil avec un long nez fin, est bien mis en valeur par les deux piliers qui guident mon regard.
Un panneau, à l’entrée, nous explique que nous allons voir une charmille ne manquant pas de…charmes .
Impressionnante et jolie cette charmille, vous ne trouvez pas?
Un des charmes a tellement charmé une pièce métallique qu’il l’a engloutie et, du coup, le bois s’est déformé au point de ressembler (à mes yeux) à une partie de tête d’éléphant!
Plus loin, je rencontre des charmes enlacés ou fusionnés…serait-ce pour ça qu’on les appelle « charmes »?
Au bout de la charmille, on aperçoit à nouveau le ciel tout entier et cette croix de pierre dont l’emplacement m’ étonne avant la découverte de l’info ci-dessous…
Madame de Behr née VictoireÉpouse de monsieur le chevalier de Haut-MaraisLaquelle est décédée le 16 novembre 1819C’est en effet, à cet endroit précisément, que dans la froidure de l’hiver, dame Victoire fut découverte inanimée, sortie de ses étriers.(source)
Dans le même coin, je croise deux étranges animaux ou plutôt des bouts de bois qui m’évoquent une tête de chien et un escargot géant et pourtant je vous assure que j’ai bien emprunté des chemins automnaux et pas aux tonneaux
Pour quitter l’emplacement de la charmille, j’emprunte une rue portant le nom de Vert Buisson (certainement davantage d’actualité au printemps à mon avis parce qu’il n’y a pas grand chose de vert en cette saison…)
La dernière photo de l’endroit, c’est ce pignon de maison où l’on trouve une croix avec cette inscription « O Crux ave, spes unica » ainsi que la date de construction et un blason, probablement celui du premier propriétaire.
Comme quoi, on ne doit pas forcément s’éloigner beaucoup de son domicile pour découvrir des endroits…pleins de charme(s)!
Voyage, voyage: Allemagne, Cochem
Le décor offert par les rives de la Moselle en Allemagne est un spectacle que j’apprécie particulièrement en automne. Les coloris y sont chaleureux grâce aux multiples et diverses variétés de vignes qui y sont cultivées.
Aujourd’hui je vais donc vous proposer de visiter la ville ancienne et romantique de Cochem sans oublier bien sûr son château impérial, le Reichsburg .
La ville de Cochem doit son charme, entre autres, aux traces laissées par le Moyen-Âge et ses maisons à colombages, ses ruelles étroites et tortueuses et la belle promenade sur les rives de la Moselle, où l’on déguste les crus de la région. De la place du marché, d’étroits et anguleux escaliers montent au couvent des Capucins construit sur un surplomb de la montagne vers 1630 et qui héberge aujourd’hui le centre culturel de Cochem et le château.(source)
Et quand on circule à Cochem, pour ajouter au romantisme, les cygnes se déplacent librement dans la ville et tout le monde s’arrête pour les laisser passer…
Découverte de la ville avant de monter à l’assaut du château
Vous pourrez voir d’autres photos en cliquant sur diaporama
Voyage, voyage: Dijon
Si je vous dis Dijon, vous pensez peut-être directement moutarde mais cette belle ville a tellement d’autres choses intéressantes que j’ai décidé de vous y emmener aujourd’hui comme annoncé précédemment dans l’article de Mayence, ville jumelle.
Les cinquante et une gargouilles de la façade occidentale de Notre-Dame de Dijon sont seulement décoratives, car elles n’évacuent pas l’eau de pluie. L’église comporte de vraies gargouilles sur les murs gouttereaux et l’abside.
L’automate Jacquemart et la grosse cloche ont été ramenés de Courtrai, en Belgique, après le pillage de la ville par les armées de Philippe le Hardi en 1382. (source)
Il ya de nombreuses églises à Dijon dont, ci-dessous, Saint-Etienne (à gauche) et Saint-Michel.
Vous savez je pense que j’aime me balader le nez en l’air et c’est toujours un plaisir de découvrir de belles toitures comme c’est souvent le cas en Franche-Comté.
A Dijon, on peut également admirer d’anciennes maisons à colombages très bien conservées et pleine de charme. Si vous aimez ça, allez donc vous balader du côté de la rue Verrerie .
Le grand théâtre de Dijon serait un des plus beaux de France. Je ne sais pas si c’est vrai mais en tout cas, il en impose vraiment!
La place de la Libération et le palais des Ducs de Bourgogne ne sont pas en reste non plus côté caractère imposant
Ci-dessous, le Parlement de Dijon qui est actuellement la Cour d’appel de Dijon.
On continue avec quelques photos pèle-mêle d’endroits qui ont attiré mon regard, comme le Musée des Beaux-Arts…
Pour découvrir facilement Dijon, le parcours de la Chouette est vraiment un bon plan.
Plus d’infos sur ce parcours ici.
D’autres idées de visites pour découvrir Dijon se trouvent ici
Et puis, je vous ai déjà parlé d’un de mes chanteurs préférés, Yves Jamait, et il se trouve qu’il est Dijonnais et adore sa ville au point de lui avoir écrit une chanson. Vous pouvez l’écouter ci-dessous en profitant de vues de la ville avant de quitter mon blog.
Voyage, voyage: Mayence (Allemagne)
Nous continuons notre découverte de l’Allemagne en nous posant cette fois, au milieu des vignobles, dans la ville de Mayence, ville natale de Gutenberg.
Une particularité à Mayence : les rues indiquées en rouge se dirigent vers le Rhin, celles en bleu lui sont parallèles.
Les couleurs des armes de Mayence sont celles de l’évêque de Mayence, de gueules (rouge) et d’argent (blanc). Deux roues blanches reliées par une croix de même couleur sur fond rouge sont les armoiries de Mayence. Ces roues rappellent, selon la tradition, la profession du père de Willigis, archevêque de la ville.
…et où se trouvent des fontaines avec des poissons.
Nous nous baladons avec plaisir sur la place du marché et admirons ses façades richement décorées.
Pour en savoir davantage sur Mayence, c’est ici et là.
Et comme Mayence est jumelée avec Dijon, nous irons explorer cette ville française tout bientôt.